walking on a tight rope

Halloween est bel et bien fini, mais la chasse aux sorcières est toujours d'actualité, comme à Salem en 1692, ou dès que l'on avait de l'antipathie pour une personne, qu'elle contrecarrait quelque projet, ou que l'on avait des comptes a régler avec elle, on l'accusait de sorcellerie, de pactes sombres, avec des forces censées l'être plus encore, quitte a lui tailler un costume 3 pièces, sur mesure bien sur, et cela a servi des intérêts, qui dépassent de loin la religion (un "croyant" peut il, décider, puis ordonner de brûler un être humain? c'est un autre débat), ou se mélangent, ambition, pouvoir, politique, et perversion personnelle, dans des quêtes, ou seul les égo les plus surdimensionnés peuvent survivre, et concrétiser les vils et sombres desseins ourdis, et tant convoités.

S'en suivait un simulacre de procès , ficelé, dont la sentence était "délibérée" d'avance, et ou le pauvre condamné ( c'est le mot, n'ayant nul autre échappatoire), devait, lui même se disculper, hagard, bégayant un semblant d'explication, implorant,clamant son innocence pour les faits reprochés, mais l'issue était scellée, sans toutefois pouvoir contester la moralité et la légitimité de ses juges et bourreaux, je n'imagine même pas l'aversion, le dégoût que devait éprouver cette personne, envers le genre humain, au moment du verdict, devant l'horreur du châtiment inhumain qui l'attendait, se disant que ses propres frères, allaient le brûler vif, sur le bûcher.

L'adage ne dit il pas lui même :"quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage" Technique qui revêt, des aspects différents, selon la raison pour laquelle on s 'en sert, sauf que la rage est surtout dans le coeur de ceux qui vilipendent et veulent jeter les autres en pâture, sous des faux dehors bienveillants, et toujours dans le dos, ils sont assurément des exemples d'obséquiosité, et de flagornerie, en société, qu'il est aisé de designer celui que l'on désire , à la vindicte, ou de se victimiser soi même pour jeter l'opprobre sur les gens intègres, que l'on voudrait sans voix au chapitre, et contre qui, tout est bon pour "passer" outre, c'est dire le peu de valeurs et de principes (sic), qui régissent la probité de ces hommes., dont l'implication est proportionnelle à ce qu'ils espèrent en retirer, et dont l'avidité exponentielle. est insatiable, nothing change.